Saisissant article du monde (il y en a beaucoup ces derniers temps…).
“Le Hezbollah a fait pleuvoir plus de 200 roquettes sur le nord d’Israël vendredi, selon la police israélienne, citée par le quotidien Haaretz. […] Cela porte à 30 le nombre de civils israéliens victimes des roquettes du Hezbollah depuis le début du conflit, le 12 juillet. “
“Israël a mené une trentaine de raids, dont certains très violents, contre le fief du Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth, après avoir appelé la population à fuir dans des tracts largués par avion.”
“Cette intensification de l’offensive israélienne, qui a fait, de source officielle libanaise, plus de 900 morts au Liban, en majorité des civils, depuis le 12 juillet, est survenue au lendemain des menaces du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, de frapper Tel-Aviv si Beyrouth était bombardée.”
Quand cela va t’il s’arrêter ?
Quand la communauté internationale va t’elle agir ?
Pourquoi et comment supporter l’idée de rester à regarder impuissants les civils mourir, les centrales électriques détruites, les ponts coupés, les roquettes voler en Israël… ?
Justifier les destructions massives d’infrastructures nécessaires à un peuple (liban) par de la “défense” me paraît léger… Quid des bombarbements des zones civiles (prévenues par tract mais est ce suffisant ? est ce humain ?) ?
Bonjour,
Merci pour ce blog découvert par hasard et que je suivrai très probablement de manière régulière étant donné mon intérêt pour l’Inde.
En ce qui concerne le Liban, ton jeune âge, les media et l’Education nationale excusent ta méconnaissance de cette région et les commentaires partiaux avalés par toute une population. C’est pourquoi je te communique ce commentaire que tu ne liras nulle part ailleurs:
Les gens les plus hypocrites de la terre (info # 012907/6)
Par Michaël Béhé à Beyrouth
Saturday 29 July [09:32:00 BST]
© Metula News Agency
Le général Michel Aoun, homme intègre s’il en est, est-il en train de manquer un tournant historique ?
La Ména continuera à informer ses lecteurs de l’évolution de la situation, par voie de communiqués continus sur ce site, pour les développements mineurs, et par l’envoi de “breaking news” à ses abonnés, en cas d’événements majeurs.
Les politiques, les journalistes et les intellectuels du Liban ont connu, ces jours, le choc de leur vie. Ils savaient bien que le Hezbollah avait constitué un Etat indépendant dans notre pays, un Etat incluant tous les ministères et les institutions parallèles, en double de ceux du Liban. Ce qu’ils ignoraient, qu’ils découvrent à la faveur de cette guerre, et qui les paralyse de surprise et d’effroi, ce sont les dimensions de cette phagocytose.
De fait, notre pays était devenu une extension de l’Iran, et notre soi-disant pouvoir politique servait, de surcroît, de paravent politique et militaire aux islamistes de Téhéran. Nous avons découvert soudain que Téhéran avait stocké plus de 12’000 missiles, de tous types et de tous calibres, sur notre territoire et qu’il avait patiemment, systématiquement, organisé une force supplétive, avec le concours des Syriens, qui s’appropriait, davantage jour après jour, toutes les chambres de la Maison-Liban. Figurez-vous que nous hébergeons des missiles sol-sol sur notre territoire, les Zilzal, et que le tir de tels engins à notre insu a le pouvoir de déclencher un conflit stratégique régional et, potentiellement, l’anéantissement du Liban.
Nous savions que l’Iran, par l’intermédiaire du Hezbollah, construisait une véritable ligne Maginot au Sud mais ce sont les images de Maroun el-Ras et de Bint J’bail qui nous ont révélé l’ampleur de ces travaux. Une dimension qui nous a fait comprendre plusieurs choses d’un seul coup : que nous n’étions plus maîtres de notre sort. Que nous ne possédions pas le commencement des moyens nécessaires à inverser le cours de cet état de fait, et que ceux qui avaient fait de notre pays la base avancée du combat de leur doctrine islamique contre Israël n’avaient pas la moindre intention de renoncer volontairement à leur emprise.
Les discussions de salut national concernant l’application de la résolution 1559 et réunissant la plupart des courants politiques libanais n’étaient donc que de la poudre aux yeux. L’Iran et la Syrie n’avaient pas investi des milliards de dollars pour militariser le Liban afin d’y mener leur bataille, dans l’objectif d’accéder au désir des Libanais et de la communauté internationale qu’ils prennent leur quincaillerie et qu’ils partent la réinstaller chez eux.
Et puis l’indécision, la lâcheté, la division et l’irresponsabilité de nos dirigeants sont telles, qu’ils n’ont même pas eu à forcer leur talent. Pas eu besoin d’engager un bras de fer avec les autres composantes politiques du pays des cèdres. Ces dernières se sont montrées et continuent de se montrer inconsistantes.
Certes, notre armée, réformée durant des années par l’occupant syrien pour ne plus jamais pouvoir remplir son rôle de protectrice de la nation, n’avait pas la capacité à se mesurer aux miliciens du Hezb. Notre armée à qui il est plus dangereux de faire appel, en raison des équilibres explosifs qui constituent chacune de ses brigades, que de l’enfermer à double tour dans ses casernes. Une force encore largement inféodée à ses anciens maîtres étrangers, au point d’être incontrôlable ; au point d’avoir collaboré avec les Iraniens pour mettre NOS radars côtiers à disposition de leurs missiles, qui ont bien failli couler un bâtiment israélien en face de Beyrouth. Les éléments non-Hezbollah du gouvernement ignoraient, quant à eux, et jusqu’à l’existence de missiles sol-mer sur notre territoire… Cela a valu la destruction ultra justifiée de tous NOS radars par l’armée des Hébreux. Et encore nous en tirons-nous à bon compte dans cette embrouille.
On a beau jeu désormais de pleurnicher et de jouer hypocritement le rôle des victimes. Nous nous y entendons à nous faire plaindre et à prétendre que nous ne sommes jamais responsables des horreurs qui se déroulent à intervalles réguliers sur notre sol. Bien sûr cela n’est que foutaise ! La résolution 1559 du Conseil de Sécurité, exigeant de NOTRE gouvernement qu’il déploie NOTRE armée sur NOTRE territoire souverain, le long de NOTRE frontière internationale avec Israël et qu’il désarme toutes les milices évoluant sur NOTRE sol, a été votée le 2 septembre 2004.
Nous disposions de deux ans pour mettre en œuvre cette résolution et pour garantir ainsi un avenir paisible à nos enfants et nous n’avons strictement rien fait pour cela. Notre plus grand crime – mais ça n’est pas le seul ! –, encore, n’est pas de ne pas y être parvenus, mais de n’avoir rien tenté ni rien entrepris. Et cela, ce n’est la faute de personne d’autre que celle des minables politiciens libanais.
Notre gouvernement, même depuis le départ de l’occupant syrien, a laissé les bateaux et les camions d’armes se déverser chez nous. Sans même se préoccuper de regarder leur chargement. Il a hypothéqué les chances de renaissance de ce pays en confondant le Printemps de Beyrouth avec la libération de Beyrouth. En fait, nous venions d’obtenir une occasion, une sorte de moratoire inespéré, pour nous permettre de prendre notre avenir en mains, rien de plus.
Dire que nous n’avons même pas été capables de nous entendre pour “pendre” Emile Lahoud – le pantin des Al-Assad – sur la Place des Martyrs et qu’il est toujours président de ce que certains s’entêtent à appeler notre république… Il n’y a pas à chercher beaucoup plus loin : nous sommes ce que nous sommes, c’est-à-dire pas grand-chose.
Toutes les personnes assumant des responsabilités publiques et informationnelles dans ce pays sont responsables de la catastrophe. Sauf ceux de mes confrères, journalistes et éditeurs, qui sont morts, assassinés par les barbouzes syriens, parce qu’ils étaient nettement moins lâches que ceux qui ont leur ont survécu. Et Lahoud est resté à Baabdé ! (le palais du président de la République du Liban. Ndlr).
Et lorsque je parle de catastrophe, je n’entends pas l’action menée par Israël pour répondre à l’agression de ses civils et de son armée, qui s’est produite depuis notre sol et que nous n’avons strictement rien fait pour éviter, et dont nous sommes conséquemment responsables. Toute dérobade à cette responsabilité – certains, ici, n’ont pas les notions du droit des nations minimales nécessaires à le comprendre ! – signifie que le Liban, en sa qualité d’Etat, n’existe pas.
L’hypocrisie se poursuit : même certains éditorialistes du respectable L’Orient-le-Jour mettent dos à dos la sauvagerie du Hezbollah et celle des Israéliens. Honte ! Veulerie ! Et nous serions qui, dans cette fable ? Les pauvres victimes ad aeternam des ambitions des autres ?
Les hommes politiques soit soutiennent cette thèse insensée, soit se taisent. Ceux dont on attendait qu’ils parlent, qu’ils sauvent notre image, se taisent comme les autres. Et je fais précisément allusion au général Aoun, qui aurait pu passer l’épaule en clamant la vérité. Même son ennemi, Walid Joumblatt, le chef des Druzes s’est montré moins… vague.
Victime ? Le Liban ? Quelle plaisanterie !
Avant l’attaque israélienne, il n’y avait plus de Liban, ce n’était plus qu’un hologramme. A Beyrouth, des citoyens innocents comme moi se voyaient interdire l’accès de certaines zones de leur propre capitale. Mais notre police, notre armée et nos juges aussi en avaient été exclus. C’était le cas, par exemple, du périmètre de commandement du Hezbollah et des Syriens dans le quartier de Haret Hreïk (en rouge sur la carte satellite). Un carré d’un kilomètre de côté, une capitale dans la capitale, gardé en permanence par une armée de Horla [1], possédant ses institutions, ses écoles, ses crèches, ses tribunaux, sa radio, sa télévision et surtout… son gouvernement. Un “gouvernement” qui a décidé seul, à la place des potiches de celui du Liban – dans lequel le Hezbollah a également ses ministères ! – d’agresser un Etat voisin, avec lequel nous n’entretenons aucun différent substantiel ou fondé, et de NOUS plonger ainsi dans un conflit sanglant. Et si attaquer un Etat souverain sur son territoire, assassiner huit de ses soldats, en kidnapper deux autres et, simultanément, lancer des roquettes sur neuf de ses villes ne constitue pas un casus belli, il faudra alors revoir sérieusement la définition de ce principe juridique.
Alors ils en sont presque tous, ces politiciens lâches, y compris de nombreux leaders et religieux chiites eux-mêmes, à bénir chaque bombe qui se détache d’un F-16 juif et qui vient réduire à l’état lunaire l’insulte à notre souveraineté que constituait Haret Hreïk, en plein cœur de Beyrouth. Sans les Israéliens, comment aurions-nous fait pour recevoir une nouvelle chance – que nous ne méritons en aucune façon ! – de reconstruire notre pays ?
Chaque fortin irano-syrien que Jérusalem détruit, chaque combattant islamique qu’elle élimine, et c’est le Liban qui se remet proportionnellement à revivre ! Les soldats d’Israël font, une nouvelle fois, notre travail. A nouveau, comme en 82, nous assistons, lâches, terrés, minables et en les insultant, en plus, à leur sacrifice héroïque qui nous permet de conserver l’espoir. De ne pas être engloutis dans les entrailles de la terre. Car, bien évidemment, à force de nous être souciés du Liban-Sud comme de notre dernière chemise, d’avoir laissé l’étranger se saisir des privilèges qui nous appartenaient, nous n’avions plus la capacité de recouvrer notre indépendance et notre souveraineté. Si, à l’issue de cette guerre, l’armée libanaise reprend le contrôle de son territoire et se débarrasse de l’Etat dans son Etat, qui œuvrait à la mort par asphyxie du dernier cité, ce sera uniquement grâce à Tsahal, et cela, tous ces poltrons de politiciens, de l’escroc Fouad Siniora, à Saad Hariri, le fils du pilleur du Liban, et au général Aoun-le-droit, le savent parfaitement.
Quant aux destructions causées par les Israéliens… que voilà une autre imposture : regardez la carte satellite ! J’ai positionné, tant bien que mal, MAIS DANS DES PROPORTIONS CORRECTES, les parties de ma capitale qui ont été détruites par Israël. Il s’agit de Haret Hreïk – en totalité – et des demeures des chefs du Hezbollah, situées dans la grande banlieue chiite de Dayaa (comme ils l’écrivent) et que j’ai encadrée en bleu.
En plus de ces deux zones, Tsahal a fait sauter un immeuble de commandement du Hezbollah de 9 étages, dans la city de Beyrouth, plus haut sur la carte que Haret Hreïk et légèrement à gauche (au nord-ouest). Il s’agissait du “perchoir” de Nasrallah à l’intérieur de la cité, par lequel il affirmait sa présence-prédominance sur nous. Un entrepôt d’armes syriennes dans le port, deux radars de l’armée, que des officiers chiites avaient mis à la disposition du Hezb, et un camion suspecté de transporter des armes, dans le quartier chrétien d’Achrafieh.
De plus, les infrastructures routières et aéroportuaires ont été mises hors d’état de fonctionner : elles servaient à nourrir le Hezbollah en armes et en munitions. Hors ceci, Tsahal n’a rien touché, rien abîmé, et tous ceux qui parlent de la “destruction de Beyrouth” sont soit des menteurs, soit des Iraniens, soit des antisémites, soit des absents. Même les maisons situées à une ruelle des objectifs que j’ai mentionnés n’ont pas été touchées, pas même n’ont-elles subi une égratignure ; c’est, en regardant ce travail, que l’on comprend la signification du concept de “frappes chirurgicales” et que l’on peut s’extasier devant la dextérité des pilotes juifs.
Beyrouth, tout le reste de Beyrouth, 95 % de Beyrouth, vit et respire mieux qu’il y a deux semaines. Tous ceux qui n’ont pas fait cause commune avec le terrorisme savent qu’ils n’ont strictement rien à craindre des avions d’Israël, bien au contraire ! A titre d’exemple, hier soir, le restaurant où je suis allé manger était plein à craquer et j’ai dû attendre 21h 30 pour pouvoir m’attabler. Les gens sont tout sourire, détendus, mais personne ne les filme : drôle de destruction de Beyrouth, n’est-il pas ?
Bien sûr, il y a les quelques 500’000 réfugiés du Sud, qui vivent une véritable tragédie et qui ne sourient pas, eux. Mais Jean (Tsadik. Ndlr), qui a les yeux rivés sur Kfar Kileh, et dont j’ai appris que l’on pouvait croire chaque parole, m’assure que la quasi-totalité des maisons desdits réfugiés sont intactes. Ils pourront donc y revenir dès que le Hezbollah aura été vaincu.
La défaite des intégristes chiites d’obédience iranienne est imminente. Les bilans communiqués par les séides de Nasrallah et par la Croix-Rouge libanaise sont trompeurs : premièrement, sur les 400 morts déclarés par le Liban, seuls 150 sont de vraies victimes civiles collatérales de la guerre, les autres étaient des miliciens sans uniforme au service de l’Iran. Le reportage photographique de Stéphane Juffa Les civils des bilans libanais… pour notre agence constitue à ce jour la preuve tangible unique de ce gigantesque bidouillage morbide. Ce qui rend ce document éminemment important.
De plus, l’organisation de Hassan Nasrallah n’a pas perdu 200 combattants, comme l’affirme Tsahal. Ce chiffre ne concerne que les combats s’étant déroulés à la frontière, encore est-il sous-évalué par les Israéliens, pour une raison que j’ignore, d’une centaine de miliciens éliminés. Le bilan réel des pertes du Hezbollah, celui qui inclut les morts de Beyrouth, de la Bekaa, de Baalbek et de ses autres camps, bases de lancement de roquettes et de missiles et dépôts d’armes et de munitions s’élève à 1’100 Hezbollani supplémentaires qui ont définitivement cessé de terroriser et d’humilier mon pays.
Comme l’immense majorité des Libanais, je prie pour que personne ne mette fin à l’attaque israélienne avant qu’elle n’ait fini de désosser les terroristes. Je prie pour que les soldats hébreux pénètrent dans tous les recoins du Sud-Liban et en chassent, à notre place, la vermine qui s’y accroche. Comme l’immense majorité des Libanais, j’ai mis le Champagne au frais pour fêter la victoire des Israéliens.
Mais, au contraire d’eux, je sais admettre, pour paraphraser Michel Sardou, qu’ils combattent également pour notre liberté, une autre bataille “où toi tu n’étais pas” ! Et, au nom de mon peuple, je veux exprimer ma reconnaissance infinie aux parents des victimes israéliennes, civiles et militaires, dont les êtres aimés sont aussi tombés pour que je puisse vivre debout dans mon identité. Qu’ils sachent que je les pleure avec eux.
Quant à la clique de minables qui fait florès à la tête de mon pays, il est temps qu’ils comprennent qu’après cette guerre, après que nos alliés naturels nous auront débarrassé de ceux qui nous empêchaient de reconstituer un Etat, un cessez-le-feu ou un armistice ne suffiront pas. Pour assurer l’avenir du Liban, il faudra qu’ils comprennent qu’il est temps de faire la paix avec ceux contre qui nous n’avons aucune raison de faire la guerre. Il n’y a, en effet, que la paix qui assure la paix. Il faut bien que quelqu’un le leur dise, car dans ce pays, on n’a pas appris ce qu’étaient les lapalissades…
Note :
[1] Michaël Béhé fait allusion au Horla, un livre de Guy de Maupassant [Ndlr]
http://www.menapress.com/article.php?sid=1475
Horreur, en lisant ton super blog sur l’Inde, après avoir découvert ton avis sur l’agression d’Israël au Liban, je suis contrait de découvrir la propagande envoyée par Laurent. Il s’est trompé de blog … Laurent cherche un blog du type “J’aime Israël pauvre pays qui se doit d’agresser, de tuer des enfants libanais … car il est soutenu par les USA”
Pas de commentaire de ma part autre que:
je ne pourrais non plus pas être objectif, ayant de la famille au Liban, mais je déplore que ca soit cette terre qui ait été choisie comme terrain de guerre par Israël et Hezbolah, et que le peuple libanais subisse une nouvelle destruction.
voila
Bonjour, et oui vous etes entrain de parler en direct avec un “terroriste” , je m’appelle karam et je vis a Beyrouth, a Choueifat. Laurent, j’aimerait bien te poser une question , ou plutot quelques questions apres ce que tu as dit:
“A Beyrouth, des citoyens innocents comme moi se voyaient interdire l’accès de certaines zones de leur propre capitale. Mais notre police, notre armée et nos juges aussi en avaient été exclus. C’était le cas, par exemple, du périmètre de commandement du Hezbollah et des Syriens dans le quartier de Haret Hreïk (en rouge sur la carte satellite).”
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—-> Reponse: Avant qu’il y ait le Hezbollah, depuis longtemps, quand il y avait la resistance Amal, et quand l’armee israelienne avait occupe Beyrouth, VOUS AVEZ OUBLIEZ LES CRETHIENS QUI JETAIENTS DU RIZ, DES FLEURS ET DES CONFETIS SUR LES SOLDATS ISRAELIENS???!!!! Comment veux-tu que nos secrets et nos armes de resistance soient en securite si il y a plusieurs libanais qui soutiennent l’israel?? Eux il s’en foutent bien puisque leurs chefs polititients gagnent des millions et des millions des Etats-Unis pour faire croire au peuple n’importe quoi comme ce que tu viens de dire, bien sur , de l’interet d’Israel!
” Sans les Israéliens, comment aurions-nous fait pour recevoir une nouvelle chance – que nous ne méritons en aucune façon ! – de reconstruire notre pays ?”
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—-> Reponse: TU SAIS CE QUE VEUT DIRE LE DRAPEAU ISRAELIEN??? LES DEUX BANDES BLEUES EN HAUT ET EN BAS!!! AVEC L’ETOILE JUIVE? Du lac Nil jusqu’au Fourat
(pardon mais je ne connais pas leur nom en Francais) Ce qui veut dire que le territoire israelien d’apres leur croyance est de l’Iraq jusqu’a l’Egypte, CE QUI VEUT DIRE QUE TOUT LE LIBAN CHEZ EUX LEUR APPARTIENT!!! mais franchement tu n’est jamais alle sur Youtube pour voire ce qu’ils apprenent aux enfants a repeter des centaines de fois dans les ecoles??? “Israel est du Nil jusqu’au Fourat” Alors pourquoi Israel voudrait aider le Liban alors que son but principal est de l’occuper.. Reflechissez un peu mes amis…………………………. Oui vous n’avez pas tort: CE N’EST QU’UNE EXCUSE POUR ELIMINER LE HEZBOLLAH POUR OCCUPER LE LIBAN SANS RESISTANCE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Si vous ne m’avez pas encore cru posez vous cette question: Pourquoi Israel refuse que l’armee Libanaise ne soit correctement equipee pour defendre le Liban??…..
Vous verrez que ca vous plaise ou non qui a raison.
Si seulement ces mots pouvaient etre repetes partout pour que tout le monde sache qui veut la paix………. et qui insulte votre Jesus
( http://www.youtube.com/watch?v=Pe6Cl6k2dVE )