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En route pour le paradis

Rappel du contexte : 1 mois de backpack en décembre bien chargé et déjà énorme, dont 2 semaines avec ma petite famille, qui s’est super bien passé. Retour à l’IIT début janvier pour 2 semaines et demi de cours et retrouvailles des 15 étudiants d’échanges qui sont tous partis eux aussi aux 4 coins de l’Inde ; on a beaucoup de choses à se raconter.

Et là le festival culturel annuel de l’iit arrive, et avec Julien on se dit qu’on aime bien la culture (oui quand même) mais que ça serait encore plus fun (!) de passer le temps du festival à voyager encore un peu ; julien a vite fait de me convaincre des bonheurs de la plongée et du sable blanc des iles à l’est de l’inde (mais toujours en inde). On regarde les vols : et on trouve un vol cheap aller retour qui part dans 4 jours. On réserve, on va acheter une encyclopédie des poissons, des palmes, un tuba, un masque de plongée, 3/4 romans, on recharge le lecteur mp3 de musique fraiche.

On est fin prêt à affronter…. les vacances, le retour !!!!!!!!!!!!

L’avion se passe pour le mieux, on arrive à la ville, ou on court réserver le ticket pour la petite ile, et on utilise la fameuse technique du dédoublement (chacun une queue pour maximiser la probabilité d’avoir un ticket dans un temps optimal). Le rendement du guichet est ultime : 1 ticket tous les quart d’heure. Il y a 8 personnes devant nous : bilan, 2 heures d’attente. L’administration indienne, c’est toujours une expérience renouvellée.

On arrive sur l’ile, on court réserver une hutte au pristine (on a du demander 4 fois “do you have free rooms?” avant d’avoir une réponse positive – à la même personne bien sûr). La règle primordiale en Inde : n’hésitez pas à demander plusieurs fois la meme chose, en reformulant légèrement la question, et / ou en testant avec différentes personnes. Mais j’y reviendrai dans un prochain billet. On part ensuite booker des cours de plongée, des fun dives, mais là c’est le drame, les clubs sont tous plein (le tourisme est en plein boom sur l’ile, malheursement snif…) et on trouve par chance un 3e club qui lui a de la place. Je réserve donc mon cours open water qui va durer 4/5 jours. On part ensuite louer une mobylette et une moto.

A ce stade on est des gros winners, la mobylette, la hutte a 50m de la plage de sable blanc, la mer crystalline, les cours et plongées réservées.

Les vacances s’annoncent énorme; et on ne sera pas décu.

Sight from the diving club

Photo de la plage de sable blanc avec la mini mangrove vue depuis mon club de plongée

Beach

Photo de la plage à 50 m de ma hutte

(oui la vie est dure parfois)

Published inInde

5 Comments

  1. Nathalie RAFFRAY

    Bonjour,

    Si vous le voulez bien, je vais me présenter.

    J’ai 46 ans, j’habite dans le département des Côtes d’Armor (je suis une costarmoricaine).

    Je suis arénophile, je collectionne les sables du monde, principalement les sables étrangers plus la Corse et les îles françaises. Je recherche des personnes qui, par leur profession, par leur voyage, peuvent me rapporter des échantillons de sables des pays qu’ils ont l’occasion de visiter. J’ai actuellement 350 échantillons de sable du monde. Je fais beaucoup de démarches sur Internet. J’ai contacté des “voyageurs du monde”. Je rencontre des gens absolument incroyables et extraordinaires, des voyageurs dans l’âme, des voyageurs à vie, des bourlingueurs… Des personnes qui partent en 4×4 ou en CC avec leurs enfants…. Certains font le tour du monde, d’autres partent sur “un coup de tête”, on vend la maison et on s’en va ailleurs. Je reste très admirative. Ils me donnent l’occasion, par l’intermédiaire de leur site, de voyager, de rêver.

    Je m’engage bien sûr à rembourser les frais engagés pour l’expédition du trésor sableux. La dose pour le collectionneur correspond à une petite boîte plastique pour pellicule photo que l’on trouve chez les photographes. A défaut d’avoir des boîtes, un petit sac plastique convient parfaitement. Mais le but étant également de faire des échanges de sable, la quantité doit être légèrement supérieure de façon a conserver sa dose pour sa collection et utiliser le reste pour faire des échanges avec d’autres collectionneurs. L’envoi se fait sous forme de petits sacs plastiques, c’est ce qu’il y a de plus simple et de plus économique.

    Il est bien sur important de bien préciser la provenance du sable sur la boite : le pays (bien entendu), la ville, le lieu précis du prélèvement (plage, rivière, désert, dune… Je conserve « mon » sable dans des petits tubes en verre bouchonnés achetés en pharmacie, j’y dépose mon sable, une petite étiquette pour en indiquer la provenance et le tour est joué.

    Voilà, vous savez tout. Si vous avez des questions particulières, n’hésitez pas à me les poser, je reste à l’écoute. Je vous invite à consulter ce lien : http://www.tahitiguide.com/@fr/677/article.asp

    Seriez-vous ok pour m’aider dans mon aventure on ne peut plus sableuse ?

    J’attends de vous lire. Acceptez toute ma sympathie et mon amitié.

    Nathalie, une collectionneuse de sable.

  2. Matt

    Salut,
    ca a l air pas mal les Andaman!
    Je suis egalement sur Bangalore, et je vais passer qq jours la bas fin Mars.
    Est ce que tu aurais qq tuyaux pour les clubs de plongee? Je cherche un truc a peu pres serieux…
    Merci d avance,
    Matthieu.

  3. ça fait rêver ! Je suis un amoureux de belles plages et de voyages exotiques. Je recherche un endroit idyllique pour passer mes prochaines vacances loin de tout et de la ville. Je pense déjà à cette destination pour un séjour en amoureux avec mon amie.
    Je vous propose de visiter ce site http://www.taiha.com et la beauté des paysages de Polynésie française.

  4. Je vous présente un petit coin de paradis, l’île de Tubuai et une pension charmante pour passer votre séjour.
    http://www.vaiteanui.com

  5. Vraiment magnifique les images de cette plage avec ce sable blanc ;)

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